Fantaisie héroïque

Fantaisie héroïque

Catégories : , , Étiquette :

« Mais un problème de taille se présenta à ce moment-là : je ne reconnaissais plus les alentours, c’était comme si nous avions été transportés dans un autre lieu, plus dense, plus touffu, comme si nous eussions été au cœur d’une sorte de jungle inquiétante émettant toutes sortes de bruits et geignements énigmatiques et effrayants (des bêtes sauvages sans doute, ou pire ?). »

« Donc, comme tout être qui se respecte, je suis singulier, peut-être plus singulier que le commun, sans pour autant que je sache en quoi cette singularité consiste, des idées bien biseautées, de ridicules dénis, des lâchetés grotesques et bien d’autres choses encore. »

12,00

Logo Babelio

Polarmaniaque

« Voilà bien le type même d’ouvrage inclassable et rien que pour cette raison, j’apprécie. (…) Un roman étonnant, tout en fines touches, à l’atmosphère épurée, rafraîchissant à bien des égards, diaphane, éthéré. (…) Le style de l’auteur est unique. »

Jean-Michel Isèbe

Jeanne Desaubry

« Vidal, c’est un peintre. Peintre aussi, ou peintre avant tout ? Un homme qui peint des atmosphères avec ses mots. Et Fantaisie Héroïque est un joli livre à offrir à celui ou celle que vous avez au cœur pour le-la faire rêver aux impossibles. »

Delph la bibliovore

« J’aime beaucoup les romans de Gilles Vidal car il instaure une atmosphère particulière avec ses références culturelles de très haut niveau. En le lisant, on se sent plus intelligent sans s’ennuyer.. »

Deph

Black Novel

« Gilles Vidal écrit des romans différents des autres, des hymnes à la littérature, à la culture (populaire mais pas que …) et nous invite à profiter du moment présent. Si l’intrigue passe au second degré, il s’agit ici de suivre Paul dans son voyage, et d’apprécier le verbe, l’image qu’il a bien voulu nous partager. »

Pierre Faverolle

K-Libre

« Gilles Vidal a écrit des ouvrages policiers. Mais il est un moment où, par delà l’écriture, il faut aussi se confronter à d’autres aspects de la littérature. En s’appuyant sur des thèmes qui pourraient ressortir du genre (il y a dans ce texte des héritages, des gens louches, des partouzes discrètes dans des châteaux, des êtres en dérive, des gens qui mentent et se mentent, des femmes fatales), l’auteur raconte autre chose, une déambulation (ce que d’aucuns appelleraient un road movie, mais avec un véhicule un peu hors d’âge et qui ne tiendra pas forcément toute la route). »

Laurent Greusard