Because the night

Because the night

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C’est après l’effondrement, ou le Grand Chaos, ou encore le merdier, “quand tout le bordel est tombé sur la tête de l’humanité”…
A la sortie d’un enterrement et malgré sa méfiance Angus – ce n’est pas son vrai nom – accepte de rejoindre une micro-communauté qui survit dans un village de basse montagne. Bientôt les vivres manquent et le groupe compte sur lui pour un raid d’approvisionnement sur un mystérieux entrepôt.
Que cherche Angus ? Est-il vraiment là par hasard ?
Dans ce court roman impressionnant, sans chapitres, Gilles Vidal poursuit son œuvre littéraire. Il joue ici avec les codes du roman post-apocalyptique.
A quoi pense-t-on quand le futur est vide ? La mémoire du narrateur ne lui laisse aucun repos. Entre nostalgie et remords, les images du passé s’enchaînent, bousculant les propres souvenirs des lecteurs. Jusqu’à la saturation, et l’obscurité.

12,00

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Delph la Bibliovore

« Gilles Vidal offre un texte très personnel avec son court roman Because the night. Je l’ai ressenti comme un long poème Rock and Roll sur fond d’univers apocalyptique. (…) Le résultat est un mélange de vitriol et de poésie »

SF Emoi

« Post-apo original et sobre, dur mais sans violence excessive, « Because the night » se lit d’une traite, comme une longue expiration dont on sort essoufflé, mais ravi de vivre encore… »

K-Libre

« Avec poésie, avec subtilité, à travers la description d’un personnage qui entend rester un humain au milieu de ce monde, c’est toute l’éthique aussi du roman noir (depuis le détective de Raymond Chandler ou Dashiell Hammett) qui court au long de ce court récit. Roman noir et poésie, c’est bien ce que cherche à concilier, et il y réussit souvent, Gilles Vidal. »
Laurent Greusard

Polarmaniaque

« Court opus certes, mais tranchant, acéré, sans concession, sans rémission. »

Black Novel 1

« Gilles Vidal se positionne comme un auteur à part, livrant des romans personnels, avec des thèmes récurrents, au risque de laisser des lecteurs sur le bord du chemin. Et de chemin, il est question ici… »

« Des phrases d’une beauté fulgurantes ».

Pierre Faverolle