En attendant Bukowski
Pascal Dessaint développe une œuvre singulière dans le paysage du polar. Depuis plusieurs années, ses livres dénoncent les crimes infligés à la nature.
Ses romans ont été récompensés par le Grand Prix de la littérature policière, le Grand Prix du roman noir français, le Prix Mystère de la Critique et le Prix Jean Amila-Meckert.
Pascal Dessaint ne dédaigne pas à l’occasion le texte court. En attendant Bukowski réunit aujourd’hui ses nouvelles les plus sulfureuses, radicales, fin du monde, punk, hot !
Attention danger !
Poids | 160 g |
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Dimensions | 11 × 120 × 200 mm |
ISBN | 979-10-96373-16-1 |
Pagination | 164 |
12,00€
L’Express
« On pensait les crocs de l’auteur toulousain émoussés par les ans, il mord les ténèbres à pleines dents. Froidement. Quelquefois à la limite du supportable. (…) C’est du raide. »
Sandra Benedetti
La Dépêche du Midi
« Ces nouvelles “pour public averti”, parfois poignantes, souvent drôles, racontent un écrivain au style qui n’aura cessé de s’affirmer et qui embarque son lecteur où il veut grâce à un sens inouï et quasi inné de la narration. »
Yves Gabay
Bepolar
« Un recueil de nouvelles noires franchement féroces, radicales, hard, hot, fun avec quelques pincées de rock’n roll par-ci, par-là. (…) une autre face que nous dévoile Pascal Dessaint avec ces textes tendus comme autant de strings. Des ambiances bien campées, au bord de la rupture, qui entraînent irrésistiblement le lecteur. »
Gilles Vidal
Broblogblack
« Pascal Dessaint nous avertit qu’À trop courber l’échine, On y va tout droit. Quand il prend le clavier, c’est pour dénoncer ce que nous faisons à la Terre et, éventuellement, à nos congénères. Il hurle au crime. Il balance l’indifférence car il y a Du bruit sous le silence. Si nous n’ouvrons pas les yeux, il nous les crève. »
François Braud
Sud-Ouest
« Nouvelles noires pour la ville rose, pour la fin du monde dans le regard d’une femme et pour l’ivresse du désespoir. Le puzzle d’une vie. »
Lionel Germain
Le Journal d’Ivry
« C’est tout à la fois tendre et violent, érotique et pudique, hurlé et chuchoté, écolo et radical. Pourquoi est-ce qu’il nous fait penser à Philippe Léotard ? L’énergie du désespoir, peut-être, la force amoureuse aussi. »
Gérard Streiff
www.pascaldessaint.fr